mercredi 27 janvier 2016

Lunombre revient en numerique et quelques nouvelles de la dernière humaine

"La réponse est en toi. Cherche-la. Et une fois que tu la connaîtras, fais ton choix... Shaïn."

Parution de l'épisode 9 de Lunombre en fin de semaine, attendez-vous à de l'action et des révélations : de nombreux secrets et tout autant de mystères mis en suspens depuis les débuts de la série, sont dévoilés dans cet épisode. Nous vous conseillons une relecture des précédents au cas où... Même si un résumé agréable a été ajouté en début d'ouvrage, vous pourriez avoir manqué quelques petits indices.  Vous vous doutez de certaines choses évidemment, mais pas de tout... 

Petit rappel : le premier roman s'étale des épisodes 1 à 4; et le second, comptera les épisodes 5 à 9 lors de sa parution. 

Alors, le neuvième épisode clôt-il la série ? 
Eh bien, oui et non. 
Car voyez-vous, Shiven n'a pas encore atteint sa destination finale.
Et dans le cerveau de l'auteur, des images assez fascinantes s'entremêlent, des histoires de mechas, d'ailes et de...

Rien à voir avec la Dernière Humaine - ah et pour info, cette dernière explore actuellement une épave de vaisseau spatial de type colonial. Elle non plus, n'a pas fini son voyage intergalactique.   

Sur ces petites infos alléchantes, nous vous quittons - et vous souhaitons au passage, une joyeuse année 2016.

Allez, je retrempe la plume dans l'encrier.

G.N.Paradis.




 

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai