jeudi 28 janvier 2010

Carnet Légendaire 3

Aujourd'hui, j'ai retravaillé mon texte (après deux jours de maladie), celui que je dois envoyer le 1er février au plus tard. J'ai bossé plus de trois heures; et je n'ai pas encore terminé. Mais j'ai tout de même eu le temps de rajouter un passage de trois pages sur l'un des personnages, qui manquait un peu de fond, suivant l'avis d'un inconnu sur un forum. (Ou peut-être l'avais-je deviné tout seul...) Je suis plutôt content de ce premier jet, écris d'une traite sans véritables heurts (1). On peut dire que j'ai terminé la reprise à 75%, mais maintenant, j'ai un problème de longueur. Je suis au raz de la limite fixé par le concours de 90 000 signes. J'ai été obligé de compter le nombre de signes par page, puis de multiplier le nombre obtenu par 31; et je dépasse d'environ 2000 signes. (Ouais, je n'ai pas word, moi, et je suis obligé d'e compter à la calculette ! ) Ce n'est pas énorme; surtout qu'il y a bien trop de dialogues à la fin, je vais tailler dans la masse pour ne garder que l'ossature du propos. Normalement, ça devrait suffire.

Jour - 3 avant la date fatidique. Si le net plante entre temps chez moi, c'est fichu.


Bonne soirée.


1. Moment où les mots vous filent entre les doigts, et se font rares.

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai