dimanche 1 août 2010

La Danse du lys revient... bonjour l'édition !

(La sortie de la Danse du Lys, tome 1 la Dame en Blanc est prévue en Décembre 2011.)

Le titre de ce billet m'inspire beaucoup de maux intérieurs et d'éclats fabuleux. J'ai gardé cette nouvelle secrète pendant quelques semaines; patientons encore quelques jours, me suis-je dit.  Quand on attend depuis déjà quelques années, on suppose que ce laps de temps ne signifie rien, et bien détrompez vous, c'est toujours lors des ultimes heures qu'on ressent la plus grande pression.

Les bonnes nouvelles ne viennent jamais seules. 

Ce même vendredi où ma nouvelle "L'Ange Gabriel et la Déesse de la Nuit" a été sélectionnée; j'ai reçu mon premier contrat d'édition pour La Danse du Lys

Je vais d'ores et déjà être officiellement publié.

Je ne lance pas véritablement d'appel sur ce blog; je préviens juste ceux qui passeraient éventuellement par là. Préparez vous ! 

Vous en saurez plus dans les prochaines semaines, les prochains mois. Je vous donnerai prochainement le nom de mon éditeur.

Alors revenez. Si le coeur vous en dit.

Ps : Pour ceux qui me connaissent, amis et famille, j'aurais bientôt une requête  vous soumettre, car je vais avoir besoin de cinquante souscription pour officialiser le tirage. Je vous tiendrai au courant.

1 commentaire:

  1. Je te souhaite une belle aventure dans le monde de l'édition. Puisse ton imagination ne jamais tarir. Plein de bonnes choses pour La Danse du Lys.

    Léa Muna (ou Tsumire)

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai