lundi 15 avril 2013

La carte d'Adalante

La venue du printemps est très souvent signe de renouveau. Les vents se renforcent, la température s'emballe, le pollen s'affole et les premières fleurs rayonnent. La vie qui éclot, renforce certaines déterminations, et chasse quelques sombres pensées dévastatrices. Sans être un fervent défenseur de la nature, je considère qu'une espèce qui oublie d'où elle vient, risque tôt ou tard de disparaître dans les méandres de sa propre folie.A méditer, au pied d'un cerisier, avec une tige de blé dans la bouche (et de préférence avec une bonne histoire à portée de mains !).

 J'y serais de nouveau l'année prochaine.

En ce qui concerne l'éclat dans l'ombre, ce sera plutôt fin avril ; le temps d'apporter des corrections et des réécritures conséquentes. La Danse du Lys avance, fragments, par fragments : j'espère dépasser la moitié de la saga d'ici la fin de l'année !

En attendant, je partage avec vous la Carte du royaume d'Adalante (première du nom faite de cette manière) ; je la distribue avec mes oeuvres dans les salons. Elle sera suivie de quelques autres, notamment celle du royaume de Perdal et du nord de la confédération Roc, de l'autre côté d'Exodus, le continent principal d'Andalénia. A noter que  je serais aussi à l'Alliance Française mardi prochain, le 23 ; plus d'infos dans mon précédent poste ici.


 Bon partages et bonnes lectures !

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai