jeudi 31 octobre 2013

Petit bilan octobre 2013 et une date de dédicaces en plus

L'écriture est un travail de longues haleines ; nous sommes en octobre, depuis douze mois, j'ai mis en ligne 13 ebooks. Avant la fin de l'année 2013, ce nombre aura augmenté.

Lunombre domine ; à hauteur de 70%.
A noter tout de même, que la série se vend autant, voire plus à l'étranger qu'en France. C'est un constat assez surprenant ! N'ayant aucun retour de lecture, je m'interroge. Pas trop, ce serait comme faucher du vent avec un sabre ; ça siffle, mais ça n'avance à rien. 

En seconde position, vient la Danse du Lys et en troisième, les chroniques d'Eléa Dédalus, qui se défendent bien - étant donné que seul le premier du nom est paru. 

Dans tous les cas, cela tombe bien, je m'occupe de ces trois histoires en priorité. D'autres, encore inconnues, sont en phase d'écriture ou de réécriture ou en projet ; la plupart plus ou moins dans le spectre de l'imaginaire. Cependant, mon champ de domaine littéraire s'élargissant ; il est for probable qu'une fois prêt, je me lance dans la littérature blanche ou noire.

Sinon, je serais en dédicaces au salon du livre de chazay d'Azergue le 30 Novembre prochain. Comme toujours, j'y présenterai toutes mes histoires, en tâchant de donner le minimum d'informations possibles. Comme toujours, je serais ravi d'avoir des retours de lecture et de pouvoir échanger avec des passionnés.

Scripturalement votre,
GnParadis.  

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai