jeudi 10 octobre 2013

Retour sur Octogones...

   A l'occasion de la convention d'OctoGônes, j'ai découvert quelques rôlistes très sympathiques et passionnés. Dont un qui l'est depuis 1981 : Kerlaft  Mais aussi des débutants qui venaient franchir le canyon des songes. Coincé derrière ma table et mes livres, j'ai vu tout ce petit monde s'amuser durant ces trois jours. 
   Or j'adore les jeux de plateau ; en ce qui concerne les jeux de rôle, je ne joue qu'à Anima Beyond Fantasy. Adorant ses trames, son univers de Dark Fantasy, ses illustrations et ses inspirations, je développe des personnages et des scénarios dans le monde de Gaïa. Entre deux romans, je m'y attèle.
   A condition que j'ordonne toutes les notes prises sur le monde d'Andalénia, la Danse du Lys serait adaptable en jeux de rôle. J'y réfléchis ! 

photo prise par une auteur... lien :  http://book.valerie.simon.free.fr/index.php?page=accueil&debut=17
 
   Ayant passé trois journées tumultueuses à discourir sur l'univers de la Danse du Lys et de Lunombre, je voulais ajouter ces petits mots magiques : merci et à l'année prochaine. ; ) J'espère en tout cas que c'était limpide ! Ah, et c'est toujours plaisant de revoir quelques têtes connues ; coucou virtuel à ceux et celles qui se reconnaitront. Le monde tient dans une boîte d'allumettes ; or c'est autour des feux qu'on raconte des histoires. ; )

Bons partages et bonnes lectures !


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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai