mardi 8 mars 2011

retour x et y sur la Danse du Lys

, Dans eAu sujet de la Danse du Lys ; l'édition avance à une allure d'escargot en vadrouille. Autant préciser que les fauves ralentissent son échappée dans la savane. Bon, après cette métaphore animalière aussi inaboutie qu'un son de vaisselle brisé en pleine représentation théâtrale, il va de soi qu'une petite mise à jour s'impose ; ne serait-ce que parce que ma stratégie de communication laisser à désirer.
Mais encore faudrait-il que j'ai quelque chose à vous dire sur l'enseigne. Et bien, j'ai trouvé une illustratrice ; j'en tais le nom, non pas pour jouer d'un suspens superflus, mais bel et bien parce que ce n'est toujours pas officiel et que je ne voudrais pas couler le bateau avant de l'avoir mis à flot. (Remarquez la pertinence du propos : on passe de la savane à l'océan !)

Sans couverture, pas de bons de souscriptions, et sans ces derniers, pas de livres. Donc à part une correction appuyée faite par moi, il n'y a pas eu de véritable avancement depuis ce fameux mois d'Août où je m'exhibais encore avec pudeur sur ce blog complexé.
Bon, je vous passe les détails, mais il y a beaucoup de X et de Y dans l'équation qui viennent barrer la voie à la réalisation de ce projet. En attendant, je fomente des complots de seconde zone pour faire pencher la balance de mon côté lors de la sortie lointaine de la Danse du Lys. Je n'ai pas encore décidé si je fais quelques folies ou non ; bah, dans vingt ans, il sera trop tard...
Je vous souhaite une bonne soirée. 

question hors série :

En passant, vous en voyez beaucoup des blogs, où le type qui écrit s'adresse directement à vous, chers surfeurs indistincts de la vague virtuelle ?

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai