dimanche 17 octobre 2010

Version 3

J'ai attaqué aujourd'hui la correction de la version 3 de mon conte, dés réception. En effet, on ne lambine pas avec les fautes d'orthographes malicieuses.  On les anéantit impitoyablement, quitte à éclater la touche "supprimer" de son clavier.

Après quelques réflexions, le titre a changé pour mieux coller à l'anthologie. Mon histoire s'intitule désormais "l'unique cadeau de Fleur". Comme vous pouvez le constater, un sort a été fait à "FerRan".  Néanmoins, mon farfadet intrépide garde bien son nom. Ma splendide ( ô combien !) trouvaille ne finira pas dans les oubliettes du presse papier. (Je précise que cette accentuation est une plaisanterie... Personne ne s'enorgueillirait d'avoir associé des mots par hasard et obtenu "Jinel FerRan". Il faut croire que certains personnages naissent avec des noms tordus; à moins que ce ne soit l'auteur, le tordu de l'histoire ! )

Sur cette exclamation pleine de promesses obscures, je vous souhaite une agréable soirée, et je retourne à la correction de mon conte.

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai