dimanche 22 janvier 2012

Un petit appel de la danse du lys

Alors, le premier tome de la Danse du Lys, a un départ plutôt instable ; on se demande de quel côté va pencher la balance, bref, ça fait seulement douze jours qu'il est sorti, techniquement.

J'espère que j'aurais quelques avis, positifs ou négatifs dans quelques temps ; une ou deux chroniques, à partager. Je vais devoir aussi courir après les librairies et les médiathèques, avec mon fameux communiqué de presse. Ce n'est pas gênant ; et c'est important. De toute manière, je vais écrire toute la saga, et je veux pouvoir en partager le maximum.
Je vais couper le tome 3 en deux, à cause de sa longueur. Je crois que j'ai pris pas mal d'avance ; puisque finalement, le quatre devient 5 ; surtout qu'il sera terminé dans quelques mois. Mes héros y subissent pas mal de déconvenues... Il n'est pas facile à rédiger ; bon, c'est différent de Sans Nom. Ah, et je viens de découvrir qu'un roman de oscillant entre 55000 et 100 000 mots avait déjà une taille conséquente. Alors, on peut dire que j'en ai déjà écrit une dizaine. 

J'attends aussi d'autres nouvelles, pour d'autres textes. Je préfère ne rien annoncer, simplement, j'ai encore écrit de belles histoires, plutôt courtes... Allez, on croise les doigts, on écrit et on patiente, comme d'habitude. 


Rêveusement Votre, que le vent et les lames exaltent votre coeur en compagnie des Vivlar !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un avis, une réaction ;hésitez pas...

"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai