dimanche 7 février 2010

To aru majutsu no index

To Aru Majutsu No Index est une animation en 24 épisodes, sortis l'année dernière. Elle conte l'histoire d'un étudiant malchanceux, Tohma, qui vit dans une cité à la pointe de la technologie. Cette ville a une particularité, 80% de sa population sont des étudiants. Tohma côtoie des Espers, des personnes aux pouvoirs psychiques incroyables, comme par exemple la téléportation. Ces derniers augmentent leur potentiel, en même temps qu'ils suivent des cours habituels.

Certains sont de niveau 0; c'est à dire sans pouvoir, ce qui est le cas de Tohma. Ce dernier possède néanmoins une capacité spéciale...

Mais voilà, la magie existe aussi dans ce monde proche du notre et lointain à la fois. Et lorsque la science et elle se croise au détour d'un bar (entre autre), on peut s'attendre à ce quelques étincelles crépitent. Que vous souhaitiez connaître la suite ou non, je vous conseille d'aller votre le premier épisode; vous le trouverez sans mal.

Ah oui, mon avis tient en quelques mots : l'histoire et l'univers de cette série m'ont séduit au plus haut point. Quant à l'animation elle-même, rien à redire. ( Je ne suis pas non plus un spécialise en la matière !)

En tout cas, elle a eu le mérite de m'inspirer.

animeka

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai