dimanche 25 avril 2010

Ce week-end, une idée d'histoire s'est frayée un passage incisif à travers mon esprit enténébré. Je ne sais pas encore quel titre définitif ces écrits auront; néanmoins, je les ai nommés "Songe Martial". Normalement, je l'avais mis au pluriel, mais je n'aime pas les sons en "o" en fin de titre. J'y suis sans doute allergique.

Ayant un départ en tête et déjà tracé le plan d'un édifice et de ses dortoirs, je me suis dit que j'allais écrire des Arcs Romanesques (plus joli que micro roman feuilletonnesque.).

En gros, je ne vous présenterai pas un gigantesque roman de dix mille pages dont vous n'allez jamais voir la fin en ligne. (Ou que vous n'arriverez jamais à lire jusqu'au bout, ce qui revient au même.)  Mais de cours récits imbriqués dans une histoire plus complexe, comme les épisodes d'une série télévisée; à la différence près que ce sera sous forme littéraire.

De cette manière, je pourrais prendre un rythme d'écriture stable, indépendamment de mes projets, et vous pourrez lire une histoire sympa.

Voilà pourquoi, chaque semaine, je posterai un passage de Songe Martial, en espérant que cela intéressera quelques lecteurs et contentera ceux qui me lisent déjà.

Et pour vous montrer mon enthousiasme, je vais vous révéler le "prologue".

 J'ai crée une page en dessous de l'en-tête de mon blog, vous pouvez pas la louper, elle porte le titre "Songe Martial.", mais je vous met le lien au cas où :


SONGE MARTIAL

bonne lecture ! (le prologue est plutôt court.)

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai