dimanche 23 mai 2010

Après une longue semaine d'absence de billet, je me dois d'annoncer qu'un nouveau passage de Songe Martial a été publié. 

J'aimerai en poster davantage par semaine, d'une part parce que j'en suis tout à fait capable, d'autre part, parce que je trouve que ça traine.

Ce qui est logique : en réalité, je ne poste que le strict nécessaire pour que mon lecteur éventuel ne décroche pas, soit par manque de temps, soit par désintéressement. Ainsi, chaque passage est défini selon un mot clef qui recouvre son intégralité et sa logique intrinsèque; tout en faisant avancer l'intrigue de Songe Martial. ce qui explique sa breveté.

Ainsi, ce soir, le passage se nomme "La Belle"; vous vous doutez qu'une fille va apparaître. Qui plus est, le titre de la semaine dernière était "La Bête" : rien à voir avec le conte du même nom; c'est en réalité une mise en évidence des points forts et des points faibles de l'université Pré d'Artor, du point de vue d'Etan, évidemment. Après, bien sûr, les deux personnages rencontrés auront un rôle à jouer dans l'aventure de notre héros...

J'aurais presque envie de rajouter un smiley "diabolique" ou quelque chose dans le genre. Mais alors, il faudrait que je vous explique pourquoi je le met; et que je vous révèle la suite de l'histoire. Or, c'est impossible.^^

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai