jeudi 24 juin 2010

Nocturne 2

Voilà, j'ai terminé ma courte histoire dont vous êtes le héros. Je n'ai pas eu spécialement de mal à la rédiger. Par contre, c'était difficile d'écrire tous les paragraphes sans en oublier; de 1 à 50. J'avais bien préparé en amont : nombre d'ennemis, nombre de sorts, boss, final. etc. Nocturne se déroule toujours sur une nuit, et dans un lieu déterminé, ce qui réduit particulièrement le risque d'erreurs. Qui plus est, tout ce que le héros fait durant son périple agit sur la fin d'une manière ou d'une autre. Le temps est précieux. Mais si on suit bien les indications de ce premier épisode, donné au début de l'aventure, tout peut aller très vite (trop peut-être !).

On commence toujours en dehors du "donjon", puis tout avance jusqu'à l'objectif final. Dans ce premier épisode, il s'agit de délivrer un des Confrères du jeune Melam, le héros de Nocturne, en franchissant les trois étages de la Tour de Garde de la ville forteresse de Goslam.

Pour finir, j'annoncerai que tout ira encore plus vite par la suite, étant donné que les règles restent les mêmes. Je pourrais en ajouter au fur et à mesure de l'avancée de Melam. Je table sur trois aventures pour le moment; Délivrance, Revanche, Orgueil. J'augmenterai peut-être de dix le nombre de paragraphes à chaque fois. quoique 50, ça me plaise assez. 

Bref, je vais la faire tester, puis l'envoyer à la revue que j'ai mentionnée dans le poste précédent.

Bonne journée.

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai