samedi 10 juillet 2010

En ce jour glorieux où j'ai achevé ma journée, carbonisé dans un coin de la terrasse; j'annonce que j'ai envoyé une nouvelle, Nocturne, rédigée récemment :


Non, ce n'est pas l'Aventure dont vous êtes le héros du même nom; juste une histoire en parallèle, avec un autre personnage. Et non, je n'ai pas encore jeté Nocturne, La Délivrance, dans la fausse aux lions. Normalement, un ami devrait l'avoir lu ou le lire très bientôt. S'il passe par ici, il se reconnaîtra et je le remercie d'avance.

En gros, Nocturne et Nocturne précèdent le roman, qui sera écrit un jour prochain. Quand j'aurais terminé de corriger Sans Nom, et autre chose...

Je ne m'avance pas plus; je croise les doigts et j'attends que tombe la foudre...

ps : Dans la foulée, j'ai écris un nouveau passage de Songe Martial, sur le blog habituel cité à droite.
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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai