jeudi 11 novembre 2010

Davantage de visibilité virtuelle...

Les circonstances ont une sacrée tendance à me pousser dans mes retranchements, donc j'ai fait quelques efforts de visibilité virtuelle. Hé ouais, je me suis inscrit sur... Pas question que j'écrive le mot sur ce blog, même pas la première lettre.

Ceux qui me connaissent (bien) savent ce que j'en pense. Les autres, vous pouvez toujours parcourir Vent et Lame, je suis certain d'en avoir parlé quelque part ; le problème, c'est que je ne parviens pas à retrouver le billet correspondant.

Ainsi, je n'apporterai pas le lien de ma page, sur un plateau d'argent avec des couverts en or et un faisan rôti.

Mais si après tout ça, vous souhaitez toujours prendre contact avec moi via ce site, cherchez "G.n. Paradis".
Je vous remercie d'avance.

Même lorsque je suis de mauvaise humeur, je tends à rester aussi agréable qu'un grizzlis qui hiberne.
Bonne journée...

ps : De toute manière, je n'en mettrai pas plus sur ce site que sur  mon blog .Donc privilégiez celui-ci. :) Mais si vous souhaitez discuter avec moi, c'est plus pratique.
 . 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un avis, une réaction ;hésitez pas...

"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai