Je publie un texte toutes les trois semaines environ sur feedbooks. Je me donne ce temps pour retravailler mes textes avant de les poster, même si ceux du Brisant datent de 2008.. C'est la moindre des choses.Vous pouvez déjà en trouver 3, le Brisant un jour de pêche, le Brisant, un jour de larmes et Illusion Royale (anciennement, le roturier illusionniste). Le premier est aussi en streaming sur "youscribe", mais bizarrement, je n'ai pas réussi à en publier d'autres à la suite. Je ressaierai dans quelques temps. C'est un moyen de lecture plutôt sympathique aussi, et que je peux importer directement sur mon blog.
J'ai déjà une sorte de planning de publication en ligne. En fin de semaine, Le Brisant, un jour en Ville, totalement inédit (quoique aussi rédigé en 2008 !), arrivera sur feedbooks, ainsi que l'acte 1 de la Rose d'Eden, revu et corrigé. La suite, inédite, suivra elle aussi. Bon, pour ceux qui ont jeté un oeil, les couverture sont soit absentes, soit un peu disons... semblables. Donc si quelqu'un a aimé l'un de ces écrits, et souhaite (a le temps surtout !) la réaliser, qu'il n'hésite pas à me contacter, en mettant un commentaire sur ce blog ou via un autre procédé bien connu. Contre toute attente, cette absence n'empêche pas les téléchargements...
Bref, je fais cela en attendant la sortie de la Danse du Lys à la fin de l'année, n'ayant pour ainsi dire plus aucune main sur le gouvernail ou la voile, ce qui m'a frustré énormément. Mais bon, je me suis résolu à l'inévitable, et puis, il y a le deuxième tome à retravailler ensuite, ainsi que Sans Nom. J'attends toujours des réponses à son sujet, positives ou autres. (sans oublier des projets d'écriture par dizaine et d'autres de la vie de tous les jours.)
Bref, je fais cela en attendant la sortie de la Danse du Lys à la fin de l'année, n'ayant pour ainsi dire plus aucune main sur le gouvernail ou la voile, ce qui m'a frustré énormément. Mais bon, je me suis résolu à l'inévitable, et puis, il y a le deuxième tome à retravailler ensuite, ainsi que Sans Nom. J'attends toujours des réponses à son sujet, positives ou autres. (sans oublier des projets d'écriture par dizaine et d'autres de la vie de tous les jours.)
Les réponses négatives ne me font plus peur depuis longtemps. Les raisons sont souvent multiples et diverses (quand elles sont données), donc loin de me laisser abattre, je retravaille mes textes. Lorsque l'un d'eux n'est pas pris, c'est qu'il n'est pas encore assez bon. Il y a tout de même une part de chance dans tout ce fatras : on peut avoir un style qui tienne la route et tomber sur quelqu'un qui n'aime guère ce qu'on écrit, par exemple ; le mieux étant l'inverse. Cependant, le pire, c'est l'absence de réponse, comme si le roman était passé à la corbeille entre deux ordinateurs. Néanmoins, dans le cas de Sans Nom, vu la taille, la lecture doit durer pas mal de temps !
Pour info, l'écriture de Sans Nom a débuté en 2009, vers la fin de l'été, bien que je m'y sois vraiment mis que quelque mois plus tard. Et dire que j'ai tenté de faire court ! A la base, c'était un seul tome,pas très long. : aujourd'hui; il est plus long que le 3ème tome de la Danse du Lys, avec son millions de signe et ses 170 000 mots. Et on rajoute la suite qui n'est pas loin des 400 000 signes...
Où est-ce que ça va se terminer ? C'est la question que je me pose tout le temps, même si je la connais déjà, ayant la fin à l'esprit depuis le tiers de la rédaction. Tout comme pour la Danse du Lys, on est dans le domaine du gigantisme, sauf que dans ce dernier cas, j'en ai encore pour une dizaine d'années, que ça passe ou que ça casse, même si j'ai une certaine avance livresque. Ainsi donc, j'ai décidé que Sans Nom se bouclerait sur cette suite qui se révèle d'ailleurs plus longue que prévue.
Et après on me parle de bêta lecteur : quel fou voudrait passer une dizaine d'heures (au bas mots !) de sa vie à lire l'histoire immangeable d'un inconnu ? Moi-même je ne le ferais pas ; par conséquent, je me débrouille tout seul. Un écrivain doit souvent se résoudre à façonner avec acharnement dans la solitude, autant par respect pour son travail que par, disons, conviction. Enfin, telle est ma vision de l'écriture ; elle est sans doute très triste, cependant, peu de choses sont aussi intenses qu'une véritable confrontation entre les mots et soi-même, sans interférence intempestive. J'ai toujours eu horreur d'avoir quelqu'un derrière mon dos alors que je suis en pleine phase d'écriture... Bref, je m'arrête là.
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