Ma fébrilité scripturale actuelle risque de mener à une véritable cacophonie d'histoires. Je ne puis en dire plus sans m'effondrer dans une mare de plumes. Patience, patience... En attendant, je polis, j'aiguise, je sabre, et finalement, j'écris, je corrige, je réécris. Voilà ce qu'on appelle une statue scripturale, il faut la rendre lisse, belle et avoir l'oeil vif pour repérer les moindres défauts, mettre en relief les moindre petits détails.
En attendant, je vous réserve quelques petites histoires gratuites sur Youscribe et Feedbooks avec Exodus* (des fragments d'histoires se déroulant sur Andalénia); en plus de la suite du Brisant, dans les jours et les semaines à venir. "Celui qui marche à l'ombre" a été téléchargé 241 fois dans dix-huit pays, en un mois... Je ne regrette pas sa mise en ligne gratuite, surtout qu'il s'agit d'un texte très représentatif de ce que j'écris actuellement (et habituellement). Je pense que le titre a certainement été à l'origine de cette petite réussite.
La Danse du Lys, tome 1 La Dame en Blanc, sort officiellement le 1er janvier 2012; officieusement, vous pouvez déjà le commander via le site de mon éditeur ; un lien assez visible a été glissé sur ce blog...
Rêveusement votre,
G.N.Paradis.
* Nom du Continent principal d'Andalénia (le monde où se déroule la Danse du Lys).
Blog de l'écrivain G.N.Paradis. (S+3F, Fantasy, Fantastique et Science Fiction) "La Plume virevolte toujours; c'est la seule arme qui respecte la voie que j'emprunte, au coeur des songes, dans d'autres mondes, dans d'autres temps.""La vie est un éternel combat contre le néant."
mercredi 21 décembre 2011
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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."
Gottfried de Strasbourg
"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."
Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai
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