lundi 15 mars 2010

Carnet Légendaire (12)

   Avant de vous parler des Chroniques de Sans Nom, ce que je ferais un jour prochain, je dois vous annoncer que je l'ai envoyé à une autre maison d'édition, il y a peu. Celle dont je parlais dans le Carnet légendaire(8), et dont je taisais le nom, comme je le fais d'habitude. C'est une pratique personnel, on ne parle que de ce qu'on connaît, pas de ce qu'on aimerait connaître. Ainsi, si un jour vous découvrez le nom d'une maison d'édition sur ce blog, vous pourrez vous dire que j'ai enfin trouvé couverture à mon livre. Et à ce moment là, je révélerai sans doute mon nom d'auteur, et peut-être même son origine. En attendant, installez vous confortablement devant votre écran d'ordinateur, que vous soyez deux, ou dix milles, bien que je parierai plutôt sur 0 ou 1, et découvrez le peu que je me permette de dévoiler sur ce blog. Au niveau de mes écrits, j'en ai en réserve, ne vous inquiétez pas; pour le reste, bah, vous devrez bien vous en contentez.

   Bon, je devrais déjà être couché, dormir, parce que je me lève tôt demain. J'ai besoin d'un peu de discipline... Ah oui, en passant, faut que je me lance dans de la philo-maison, la vraie, celle que j'ai eu partagée avec certains personnes qui m'ont connu dans mon heure de gloire psychique.

   Aujourd'hui, je suis plutôt en cours de fortification interne, pour repousser entre autre la frustration, le stress, l'anxiété, la colère et j'en passe.  La bataille ne date pas d'hier, mais je la remporterai dés que j'aurais mis la main sur une bonne nuit de sommeil, et du magnésium.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un avis, une réaction ;hésitez pas...

"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai