dimanche 26 juin 2011

Un mois ou plutot 2

La Danse du lys sortira en fin d'année, soit en Novembre, soit en décembre, avec plus de probabilité pour le second mois. Comme dit le vieil adage : "mieux vaut tard que jamais". De toute manière, d'autres projets sont en cours, et j'en reparlerai certainement dans  les prochaines semaines. Heureusement pour mois, je ne suis pas bloqué au niveau de l'écriture elle-même ; il y a bien sûr des hauts et des bas, mais tout s'équilibre assez bien.

J'ai retravaillé Sans Nom cette semaine, et je m'attèle aujourd'hui à terminer cette relecture qui m'a paru obligatoire en vertu des petites erreurs répandues ici ou là et que je n'ai pas vu lors des précédentes lectures. C'est ce qu'on appelle mettre toutes les chances de son côté, même si je ne crains pas les réponses négatives.
Je pars juste du principe que si c'est "non", c'est que ce n'est pas encore assez bon, et que je n'ai pas eu de chance ou obtenu gains de cause du comité de lecture.

On verra bien. Allez, j'y retourne.

ah oui, j'oubliais : le deuxième petit texte du Brisant est désormais présent ici, si vous voulez le télécharger. Il est aussi sur ce blog, mais ne porte pas le même titre. Il a été plus dur à retravailler que le premier ! Et je n'ai pas encore eu le temps d'ajouter un simulacre de couverture pour attirer l'oeil ; mais ça n'a pas empêcher des lecteurs de télécharger.

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai