mardi 25 octobre 2011

Le résume de quatrième de couverture du tome 2 de la Danse du Lys

Une danse épique et terrifiante tourbillonne de nouveau autour des Vivlar, les poussant dans un maelström de magie et de combat. Trouveront-ils la véritable raison de leur retour en Andalénia ? Quels ennemis et révélations les attendent au bout de ce long et tortueux chemin ?
Entre multiples aventures, batailles épiques et sentiments naissants, parcourez Adalante, avec le Héros Dansant, la Damoiselle de l’Océan, et bien d’autres ; un Royaume cerné d’adversaires pour le moins monstrueux...

Et une petite biographie de circonstance pour rappeler quelques points importants à ceux qui se poseraient des questions :

G.N.Paradis est un jeune homme de 22 ans né à Lyon. Il s’est découvert une passion pour la fantasy en lisant des livres jeunesse et des livres dont vous êtes le héros.  Il a commencé à écrire  des poèmes et de courts textes fantastiques lorsqu’il avait neuf ans et n'a jamais arrêté depuis. Sa passion est bien vite devenue une vocation. C’est ainsi qu’à treize ans, il a commencé la rédaction des trois premiers tomes de la Danse du Lys, qui s’est achevée, il y a maintenant 5 ans. Enfant, il souhaitait déjà faire rêver les gens. Aujourd’hui, il espère parvenir à toucher des cœurs, car il répand un peu de sa sensibilité à chaque fois qu’il noircit une page. 

J'ai aussi une autre bonne nouvelle à annoncer, toujours en rapport avec la  l'écriture mais j'attends sa concrétisation d'abord.

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai