vendredi 17 août 2012

Notes sur Lui et Elle

Avec la mise en ligne de Lui et Elle, j'entame un nouveau périple, dans l'anticipation, la science fiction et le "je". Je pose une question simple, concernant le net, les relations humaines. Jusqu'où pouvons-nous aller dans le virtuel sans nous perdre nous-même en chemin ?

Pour réaliser une telle histoire, il me fallait tout bâtir sur des antagonismes ; l'individualisme ou le collectivisme, le masculin et le féminin ; offrir au moins deux points de vu, tout en intégrant une romance. Réfléchir sur l'idée d'identité. Ce que nous sommes, ce que nous voudrons être, ce que nous ne sommes pas, ce que nous ne souhaitons pas être...

 De là, Lui et Elle n'ont pas de noms au début de l'histoire... L'image de couverture, est une simple forme que j'ai décelée dans une rose. En cherchant un brin, vous y verrez une femme et une homme...

Bonne lecture,
Scripturalement Votre,
G.n.Paradis
Extrait de Lui et Elle.
 
"Ils étaient tous partis. Il suffisait de sortir dans la rue silencieuse, de parcourir quelques kilomètres à l’intérieur de la ville, pour ressentir ce vide absolu, cette absence de sensation indéchiffrable. Personne. Nulle part.

Personne, oui, personne, sauf mo
i."



http://fr.feedbooks.com/userbook/27798/lui-et-elle-partie-1
http://histoiresgnparadis.blogspot.fr/2012/08/lui-et-elle-tome-1.html

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai