lundi 21 janvier 2013

Carnet légendaire 22

Orbe de Désespérance,
Flux d'indifférence
épouvantables augures,
Délicieuses aventures.
Atroces migraines.

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   La Danse du Lys tome 6 avance petit à petit, avec une constance favorable à l'écriture.  L'histoire suit son cours à travers des complots surnaturels et politiques, doublés d'une révolution : du sport neuronal en perspective. La trame se déroulant à trois endroits différents, je me demande de quelle manière ma plume va mêler le tout. 
   En Elonéa, un empereur d'une puissance énorme, dirige son royaume d'une main douce et affutée. Il ne tyrannise pas le peuple, le peuple se tyrannise tout seul en son nom. Les rebelles, il en fait des alliés, et suit un code d'honneur qui fera pencher le doute de la foule en sa faveur. La seule chose qu'on pourrait lui reprocher, ce serait son pouvoir et son don pour manipuler son prochain.  
L'aspect "bien mal" sera complétement chamboulé dans le cycle 2 de la Danse du Lys, soit à partir du tome 5. Ce qui pose quelques soucis aux héros et héroïnes ; surtout quand vous avez plusieurs manipulateurs à portée de mains et aux buts dissemblables. Ajouter au milieu de tout cela, la Kabale, les Walkyria, les Felmor et Orden... Le monde d'Andalénia est riche en références ; la Danse du Lys étant un éloge à la fantasy et à la mythologie. 

  Le jeune garçon que j'étais, le souhaitait.

  Tout cela ne m'empêchera guère d'écrire la suite de Lunombre et de Ragnarok... Et d'autres histoires, en cours ou à venir, dont je ne parlerai pas pour le moment.
  Le temps suit son cours et n'attend personne !







 

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"Mon histoire ne s'accorde ni à leur monde, ni à leur mode de vie; leurs vies et la mienne ne suivent pas le même chemin. J'ai un bien autre monde en tête, qui porte dans le même coeur son amère douceur et sa peine aimée, le ravissement de son coeur et la douleur de l'attente, la joie de la vie et la tristesse de la mort, la joie de la mort et la tristesse de la vie. En ce monde, laissez moi avoir mon monde, et être damné avec lui ou sauvé avec lui."

Gottfried de Strasbourg

"Quand Ils parlent d'espérances trompées,
De Tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater les coeurs;
leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air des cercles éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang."


Extrait de La Muse, d'Alfred Musset, tiré du recueil les Nuits de Mai